Assomons les pauvres analyse linéaires
1 : « entouré » hyperbole, indicateurs temporels (seize ou dix-sept) modalise la durée,
3 : antiphrases et registre de l’ironie, mise en parallèle de « sage » et « riche », riche de connaissance ou riche matériellement ? Lexique péjoratif désignant inepties des livres lus par Baudelaire, gradation : digéré, avalé. Souligne coté désagréable de ses lectures « démodées ».
4 : « elucubrations » dévalorisation des pensées, description ironique : « conseillent a tous les pauvres d’être de se faire esclave » a une époque ou l’on cherche l’abolition totale de l’esclavage (Lincoln) « ceux qui persuadent qu’ils sont tous des rois détrônés » Baudelaire semble contre l’égalité universelle (matérielle ou rationnelle) et presque énervé
6 : exagération de sont état d’esprit, lexique du mal être physique et psychique « vertige, stupidité », qu’il ne trouve pas surprenant, état d’esprit justifié, comme si tombait malade après avoir ingéré les livres.
7 : allitération désagréable en [s] : semblait seulement sentais. « Confiné » lexique de l’enfermement récurrent dans l’œuvre baudelairienne, métaphore du poète enfermé et oppressé par sa propre intelligence.
8 : métaphore de la germination d’une idée très vague, a nouveau dévalorisation des idées véhiculées « bonne femme » expression populaire
9 : « idée d’un idée » référence à Inception ?? Exprime flou (artistique ou concernant l’humanité ??) de ses pensées, accru par l’hyperbole « infiniment ».
10 : métaphore de la soif, paroles dont il se désaltère sont vides, utilise lexique scientifique pour accentuer la dévalorisation des « mauvaises lectures », antéposition accentue l’effet de moquerie.
12 : hyperboles : « culbuterais les trônes » son regard toucherait au plus profonds de leur être même les rois et seigneurs, mais conditionnel « si » accompagné de 2 métaphores obscures, qui paraissent impossible pour dénoncer l’insensibilité des rois.
15 : a partir de la, Baudelaire tente de