Au bonheur des ogres La littérature existe depuis la nuit des temps et ce n’est pas demain que nous la verrons s’éteindre. Ah l’expression qui doit être sur votre visage en ce moment à la lecture la phrase précédente. Bien sûr, c’était une blague, ce texte est évidemment mon compte rendu de lecture. Trêve de plaisanteries et attardons-nous maintenant à l’ouvrage dont je fais la lecture depuis déjà quelques semaines, c'est-à-dire Au bonheur des ogres de Daniel Pennac.
Le premier Décembre 1944, à Casablanca au Maroc, naît un jeune homme du nom de Daniel Pennacchioni. Dès son jeune âge, on remarque que celui-ci a beaucoup de difficulté à l’école tout simplement par le fait que d’assimiler la complexité et la logique du caractère «A» lui pris presqu’un an. Effectivement, cette situation changera radicalement et Daniel ira faire une maîtrise en lettres à Nice pour ensuite entrer dans la grande famille des enseignants. Par la suite, celui-ci se mettra progressivement à l’écriture pour enfin présenter plusieurs œuvres dont sa toute première, Au bonheur des ogres qui parût en 1985 à Paris sous les rennes de la maison d’édition Série Noire. Ce premier livre, qui se vendra à plus de quarante milles exemplaires, recevra plusieurs bonnes critiques pour son aspect cocasse, et sera le premier d’une longue saga. Avec plus de trente œuvres à son actif, Pennac a été récipiendaire de plusieurs récompenses comme le prix Ulysse en 2005 pour l’ensemble de son œuvre, et le Grand Prix Métropolis Bleu en 2008 encore une fois pour l’ensemble de son œuvre.
L’histoire prend place dans un centre commercial. En premier plan, se trouve un jeune homme du nom de Benjamin Malaussène qui prendra le rôle de frère de famille et de bouc émissaire du magasin. Évidemment, bouc émissaire n’est pas à prendre à la lettre puisque ce cher Benjamin porte le nom plus professionnel de Contrôleur technique. En fait, son rôle est de se présenter au bureau des réclamations, si on peut appeler cela