Autrui
I) Le solipsisme et le problème de la connaissance d’autrui
A) Position du problème
B) L’approche analogique d’autrui et ses limites
Ce que je cherche à connaitre c’est ce que ressent l’autre et ce qui est visible ce qui se donne objectivement se sont ses comportements, pour connaitre l’état subjectif de l’autre je vais m’appuyer sur ce que je connais de moi-même, tel comportement objectif correspond chez moi à tel état d’esprit, si autrui possède le même comportement il aura le même esprit que moi, pour connaitre autrui je suis poussée à faire des suppositions, à faire des conjonctures, je fais à partir de moi ses suppositions, à partir de ce que je sais de moi-même et ce que je suis, le risque est que je manque ce qu’est l’autre car je vais projeter sur lui mes propres fonctionnement. Y’a un problème qui est proposé par le solipsisme est : comment peut-on saisir extérieurement une intériorité, une subjectivité. La relation à l’autre peut sembler très abstraite, dans l’expérience il semble plus visible que autrui se donne d’une manière plus immédiate, il y a une sorte de spontanéité de la part d’autrui, l’expérience de l’autre est préréflexive et donc si je ne peux pas saisir immédiatement ce qu’est l’autre, l’autre se donne pourtant comme sujet. La question s’est quel est le sens de cette expérience.
II) Le regard de l’autre ou le problème de la reconnaissance d’autrui.
A) Le surgissement de l’autre
Autrui n’apparait comme un objet dont l’identité serait problématique, il est saisi immédiatement comme sujet, Sartres se demande ce que ça signifie. Qua, il n’est pas un élément de plusnd je suis seul dans cet espace il s’organise à partir de moi-même, de mon regard, et vient le moment ou quelqu’un entre dans mon jardin et ce quelqu’un ne vient pas s’ajouter dans le tableau comme un élément neutre, il n’est pas quantitatif mais qualitatif, c’est ma présence dans ce lieu, mon expérience même qui s’en trouve modifiée, quand l’autre surgit dans ce jardin