Autévaluation + assistante sociale
Ville, date,
Lettre à mes formateurs,
Quoi de plus difficile pour moi que d’écrire mon autoévaluation. Je pourrais commencer par vous expliquer pourquoi je pense que mon futur métier est une évidence pour moi… Peut être classique à lire dans une autoévaluation d’étudiant ? Mais, d’un autre côté c’est une réalité qui c’est révélée en classe de quatrième lors du stage obligatoire d’une semaine auprès d’un professionnel : j’ai choisi de suivre une assistante sociale qui m’a fait découvrir sa profession. Mais ce n’est que plus tard, vers l’âge de 17 ans que je me suis fixée pour objectif de passer le concours de l’IRTS. Je me suis laissée le temps d’acquérir une certaine maturité et une petite expérience professionnelle (auxiliaire de vie scolaire auprès d’un enfant handicapé) avant de passer le concours d’assistante de service social.
Une fois le concours obtenu, et en attendant d’intégrer ma promotion le 11 septembre 2006, il ne me restait plus qu’à imaginer les 3 futures années qui m’attendaient. Ma première réaction à été celle de la peur de l’inconnu : un métier que je ne connais finalement pas beaucoup, des formateurs, des étudiants et un établissement tout entier que je ne connais pas du tout. Mais, entre les craintes, les moments de solitude et d’hésitation, se dessinait une lueur d’envie : une envie d’apprendre et de découvrir ma future profession.
Je tire un bilan plus que positif de ces trois années d’apprentissage. Il me semble difficile de parler de tout ce j’ai pu étudier ou découvrir pendant ces trois années, alors je préférerais m’attarder sur quelques moments importants de ma formation.
Tout d’abord, j’ai pu bénéficier d’un apport théorique durant une bonne partie de la première année. C’est durant mes stages que j'ai enfin pris conscience de l'importance de tout cet apprentissage. J'ai fait le lien entre la théorie que vous m’avez apportée et la pratique observée