Avantages comperatifs de la france
Sommaire 1
Introduction 2
Partie I. Contexte & Méthodologie 6 A. Vue d’ensemble de la productivité, des coûts salariaux et des exportations en Europe 6 1) Productivité 6 2) Coûts salariaux 7 3) Echanges commerciaux de la France : Partenaires & balance commerciale 8
B. Méthodologie 9
Partie II. Etude empirique du modèle Ricardien 14 A. Modèle ricardien de base 14 1) Echanges bilatéraux avec l’Espagne 14 2) Echanges bilatéraux avec l’Italie 15 3) Echanges bilatéraux avec l’Allemagne 17
B. Modèle Ricardien avec intégration du coût du travail relatif 18 1) Echanges bilatéraux avec l’Espagne 18 2) Echanges bilatéraux avec l’Italie 19 3) Echanges bilatéraux avec l’Allemagne 21
Conclusion 21
Bibliographie 24
Annexes 25
Introduction
La mondialisation commerciale n’a eue de cesse de croître depuis la deuxième guerre mondiale et la signature des accords du GATT en 1947 avec une massification d’accords unilatéraux, bilatéraux, multilatéraux, le régionalisme… : ce que Bhagwati appelle de manière très imagée le « bol de spaghetti ». Ces entrelacs d’accords et surtout la construction européenne dans le cas de la France, ont permis de se rapprocher quelque peu du cadre imaginaire de la « concurrence pure et parfaite ». Cela nous donne une occasion unique de tester certaines théories classiques qui ont justement encouragé sur le plan intellectuel à la libéralisation des échanges. Ce fût Adam Smith qui posa la première pierre de l’édifice avec la théorie de l’avantage absolu, largement reprise et améliorée par David Ricardo en 1817 dans Principes de l’économie politique et de l’impôt avec l’exemple désormais célèbre des échanges du vin et du drap entre l’Angleterre et le Portugal. L’apport fondamental de cette notion d’avantage comparatif par