 Candide est enrichi par ses voyages, il a donc plus d’expérience, il est moins naïf. Cunégonde était belle et attirante au début, elle était le fruit de la passion de Candide. A la fin elle est laide et usée par le travail mais ce dernier compense sa laideur, et elle devient une excellente pâtissière. Pangloss n’évolue pas beaucoup, il est toujours dans la même philosophie « tous est au mieux dans le meilleur des mondes possible. ». Les autres personnages sont moins malheureux grâce au travail.

 Dans ce chapitre Pangloss s’adresse à Candide de la ligne 154 à 164. Pangloss lui parle en disant une accumulation d’’hypothese, on peut le voir avec la répétition de « si ». Pangloss dans ce conte incarne l’optimisme, il est la caricature de Leibniz. Il enseigne l’optimisme à Candide depuis son plus jeune âge, il continue à le faire à la fin de ce chapitre, ici avec sa dernière phrase. Pangloss s’évertue à dire à Candide que s’il en est là aujourd’hui c’est grâce à la providence, donc à Dieu. Il dit aussi « que tout est pour le mieux dans le meilleur des mondes possible. » cette correction permet de renforcer l’idée que le monde est parfait. Le fait que Pangloss soutienne cette théorie crée une distance entre le lecteur et l’optimisme qu’il soutient. Voltaire remet en cause la croyance en la providence avec le schéma « cause-conséquence ».

 Nous pouvons dire que Candide à gagné en maturité, il prend de l’assurance en coupant Pangloss et en lui disant « Cela est bien (…) mais il faut cultiver notre jardin ». "il faut" montre la certitude et la volonté; on remarque une détermination de Candide, nous voyons qu’il commence a ne plus croire Pangloss. Cette phrase est une métaphore, elle signifie qu’il faut laisser les problèmes de coté. Et qu’il fallait plutôt s’occuper de ceux que l’on peut arranger, amélioré. En d’autre termes il faut faire évoluer la société et la rendre meilleur par le savoir et la