Azertyuiop
Texte 1 :
1) et 2) points de vue de coupeau : il est exprimé par un discours narrativisé. Ses propos sont résumés, le rythme est assez rapide car on relève des énumérations l 7-10 et 11-16. On passe rapidement d’un élément à l’autre. Coupeau décrit la machine telle qu’il la voit. Il joue le rôle du guide on relève des verbes qui montrent l’explication « indiquant du doigt » l 8, montrant l9, lui expliqua l7. De plus, on remarque que coupeau fait une description assez détaillée de la machine pour un homme qui dit ne pas boire d’alcool : on relève le chp lexical de la machine : les différentes pièces et appareil l 9, cornue l10, ses récipientsl11 et tuyaux l12. Cela est dû à ses amis qui plus d’une fois l’ont traîné dans des bars. Mais il en vient quand même à la personnification de la machine : « comment sa marchait » l8 (alors que normalement pour des machines le mot approprié serait fonctionner), « mine sombre »l12, un ronflement l14, l’alambic est comparé à un ouvrier l 15 16 « c’était comme une besogne de nuit faite en plein jour par un travailleur morne, puissant et muet ».
Point de vue de Gervaise : c’est elle qui provoque « cette rencontre avec l’alambic ». alors que coupeau s’apprêtait à partir « s’inquiétant de l’heure « l2, Gervaise va voir la fameuse machine. C’est un mais l3 bien marqué qui fait cette transition. Les sentiments de Gervaise évolue au fil du temps, au début elle est attirée vers le fond du bar par sa curiosité même si l’alambic est bien caché. En plus de cela, l’endroit est peu accueillant, on relève « au fond », derrière la barrière de chêne et de cuivre rouge l4 5 qui pourrait faire penser à du sang. Puis la peur l’envahit, l’élément déclencheur est surement la description de coupeau, on relève le champ lex de l’étrangeté : énorme cornue l9, formes étrange l11, enroulement sans fin l12 et puissant l 16. On peut relever le chp lexical de la noirceur qui est la métaphore de l’enfer : sombre l 13 et fumée, ronflement