Alfred de Musset
« On ne badine pas avec l’amour ».
Acte II

Scène I
Dans cette première scène de l’acte deux, une entrevue a lieu entre Perdicant et Camille.
Cette troisième entrevue nous confirme que Camille n’est pas résolue à épouser Perdicant qui lui désire épouser Camille.
Cette scène ressemble à un dénouement, nous pouvons observer, que Camille est résolue à ne pas épouser Perdicant et préfère rester auprès de Dieu.
Apres de multiples essaie peux convainquant Perdicant abandonne l’idée d’épouser Camille et lui propose une amitié. Cette scène donne l’illusion d’un point final au mariage Perdicant/Camille jusqu’à que Camille écrit un billet à Perdicant, ce rebondissement subit comme un vrais coup de théâtre relance l’intrigue, et le lecteur ainsi que le spectateur se pose la question :
« Qu’a-t-elle pu écrire sur ce billet ? »

Scène II
Dans cette seconde scène de l’acte deux, l’auteur nous offre un Maître Bridaine puéril, il se plaint tel un condamné qui vit ses derniers jours.
En effet, Maître Bridaine ce lamente de façon excessive et futile, le Gouverneur a pris sa place, il ne sera plus assit à côté du Baron mais au bas bout.
Maître Bridaine outre que d’être ridicule, se fait passer pour un homme ne pensant qu’à manger et à boire, il se plaint de ne pouvoir manger que « des os et des pattes de poulets » ce qui renforce son côté puérile.
Dans son monologue, Maître Bridaine use d’un langage grave. « Ô malheureux que je suis ! Un âne bâté ! » « Ô Sainte Eglise catholique ! »
Il jure comme si sa relégation au bas bout été un affront, une condamnation, alors que ses plaintes n’ont pas lieux d’être. Ses plaintes contrastent avec la futilité du sujet.

Scène III
Dans cette troisième scène de l’acte deux, Rosette et Perdicant conversent dans un champ.
Il semble que Rosette est un objet aux yeux de Perdicant. Perdicant fou amoureux de Camille séduit Rosette avec des attentions particulières. Apres cette entrevue particulièrement