Balzac le chef d'oeuvre iconnu
Technique
Mythique, nourri de tous les mythes que nous avons énumérés
Le discours principal est le discours mythique, le discours technique ne servant que de caution au discours mythique
Pour Frenhofer, trois éléments essentiels composent la peinture, le dessin la couleur et le sentiment, relevant du discours technique jouant sur l opposition de la complémentarité de la couleur ou du dessin
Le sentiment en revanche est e un élément indéfinissable en peinture, étant la troisième définition de la peinture, un je-ne-sais quoi, un escio quid en latin. L expression du je ne sais quoi apparaît dans le ci sous cette forme ou sous une autre (P45 Frenhofer y commente un tableau apparemment parfait « qu y manque t il » il y a l dessin et la couleur mais il manque qqch. Il manque un « rien mais ce rien est tout, vous avez l apparence de la vie mais vous n exprimez pas son trop plein qui déborde, ce je ne sais quoi = vie= mystère pour le peintre = mystère du peintre Frenhofer
Qq pages plus loin « il manque une vérité » « quelque chose de divin » ici le « de » remplace la formule du je_ne_sais_quoi
Ce je ne sais quoi affriolante les artistes semble le comble de l art
Pour Frenhofer cela réside dans le dernier coup de pinceau plus fort que le travail laborieux du peintre. Ainsi Frenhofer donne un dernier coup de pinceau sur la sainte de Porbus tout comme joseph Bridau qui donne un dernier coup de pinceau a
A la toile de Grassou sur la famille vervelle ce dernier coup de pinceau n est plus de l ordre de la peinture mais de la magie.
Pierre Grassou parabole sur la médiocrité
Ci parabole échec gradation constante du chef d’œuvre, Frenhofer disant toujours lorsque l on se trouve devant l une de ses toiles décrite comme un chef d œuvre « ce n est rien du tout » par rapport à ma merveille
Derrière le personnage de Frenhofer l mythe de Prométhée avec la transgression des limites de la nature. Prométhée reçoit un châtiment pour son outrecuidance,