Base de POL 1803
Dans le monde de la politique, les statistiques sont un outil souvent utilisé par les partis ou encore les médias dans le cadre des sondages. Il y a deux types de statistiques : descriptives et inférentielles.
Les statistiques descriptives servent à résumer ou situation ainsi qu’à la simplifier. Les pourcentages, comme la moyenne, ainsi que les techniques graphiques qui permettent de présenter les résultats plus tape-à-l’œil, sont tous des exemples de statistiques descriptives. Le plus grand défaut de cette statistique est la perte. Oui la moyenne peut donner une vision globale de l’assistance à chaque parties des Yankees au Yankee Stadium, mais il reste impossible à savoir combien de spectateurs il y avait à chaque rencontres (Imbeau et Fox, 1999). Les autres mesures de tendances centrales comme le mode, la médiane et la moyenne sont aussi considérées comme descriptives, car à l’aide d’un seul nombre, il est possible de résumer et d’avoir une idée approximative des résultats. Puisque le cerveau n’a pas une capacité à tout retenir par cœur, les statistiques descriptives sont la meilleure option, lorsqu’il vient le temps de décrire une situation globale : « Les statistiques descriptives nous aident à réduire l’information de façon à ce que nous puissions la comprendre et l’utiliser avec efficacité» (Imbeau et Fox, 1999).
La deuxième branche des statistiques est composée de celles dites inférentielles. Contrairement aux statistiques descriptives où le but est de simplifier la situation, nous tenterons par les statistiques inférentielles de la généraliser. C’est-à-dire de prendre un échantillon, et regarder si elle est en relation avec la population. Une population étant «tous les cas, auxquels un chercheur veut appliquer ses conclusions» (Imbeau, Fox, 1999). Lors d’un sondage, 40% des gens interrogés peuvent dire aimer la crème glacée. Toutefois les sondeurs ne s’intéressent pas aux100 personnes qui forment l’échantillon, car un autre échantillon