Batailles contre les forces du mal. ce qui n'a pas marche: analyses stratégiques.
Une Nation forte, c’est d’abord une Grande Armée. Une Grande Armée, c’est d’abord des Hommes loyaux à la tête des Grands Commandements dotés en combattants professionnels des armes. Alors pour me résumer, une Grande Armée, ce sont des Officiers loyaux à la tête de commandements dotés en hommes bien formés, bien équipés et conditionnés psychologiquement pour faire face à toutes épreuves : combats terrestres, aériens, navals, non-conventionnels, perfides,.. ; catastrophes naturelles ou d’origine humaine ; guerre médiatique et psychologique, etc.
Une Grande Armée, c’est donc une armée prête à parer à toutes menaces. Sans cela, il ne peut y avoir création de richesse et développement. Il ne peut y avoir de Nation dite Grande. Il ne peut y avoir Souveraineté. Alors Côte d’Ivoire, que s’est-il passé de mars à avril 2011 pour que tu sois sous domination étrangère aujourd’hui ?
Pour être complet sur ce sujet, je vais essayer de tenter d’analyser les différents fronts ouverts par l’ennemie pour essayer de dégager dans la mesure du possible, les failles du système qui ont occasionné la capture du Président en Exercice de la République de Côte d’Ivoire au regard des lois ivoiriennes, Son Excellence Monsieur Laurent GBAGBO.
Tout d’abord le Front politique.
Il a été ouvert à la suite du Deuxième Tour des élections présidentielles organisées le 28 novembre 2010. Alors que les trois jours francs pour la proclamation des résultats provisoires, accordés par le Code électoral ivoirien à la Commission chargée de l’organisation des élections, étaient échus, Monsieur Bakayoko, Président de ladite commission et membre du bloc politique de OUATTARA, s’étant volontairement fait escorter manu militari par l’Ambassadeur de France et celui des USA, se retrouve à l’Hôtel du Golf, Qg de campagne du candidat OUATTRA, pour annoncer devant les médias français, un prétendu résultat des élections présidentielles qui ont opposé Laurent GBAGBO à Dramane OUATTARA. Ce