Commentaire littéraire
N°1

Charles Baudelaire est un poète du XIXème siècle, au moment du réalisme. Ce poète s’est rendu célèbre par plusieurs de ses écrits comme « le parfum exotique » ou « le serpent qui danse ». Ce contemporaine rejet le réalisme car il cherche à atteindre la vérité humaine de l’univers en faisant de nombreuses comparaisons entre hommes et animaux comme dans « le serpent qui danse » où le serpent ou plutôt ses mouvements sont les comparants d’une femme. Il fera d’ailleurs la même chose avec le poème que nous allons étudier où des marins sont comparés à des albatros. Le plan que nous suivrons pour ce poème est le suivant : Nous commencerons par décrire les albatros puis nous allons explorer l’environnement de celui-ci, ensuite nous détaillerons la déchéance des oiseaux. Nous continuerons avec des voyageurs moqueurs et sans âme. Et enfin nous finirons avec les moqueurs moqués qui seront comparés à la pauvre bête qu’ils auront fait souffrir.

Ce texte comme le titre l’indique « l’albatros », parle en premier lieu d’albatros. Ces créatures de la nature sont décrites comme des oiseaux beaux, grands et majestueux comme l’indique ces périphrases « vastes oiseaux des mers » (v.2), « ces rois de l’azur » (v.6), ou les vers 7et 10 « leurs grandes ailes blanches » et « lui naguère si beau » qui les décrivent physiquement. De plus, il est expliqué que ses sont de bons camarades d’anti solitude, gentil et docile « qui suivent, indolents, compagnons de voyages » (v.3) avec une gradation qui accentue cette idée. Il aussi sous-entendu qu’ils sont capables de suivre un bateau au bout de la terre comme le montre se bout du vers 3 coupé à l’hémistiche « compagnons de voyage » ou encore cette périphrase « ce voyageur ailé » (v.9).

Mais à travers cette description angélique des bêtes, se trouve un paysage sombre, noir et macabre.

En effet derrière cette image paradisiaque, se trouve une embarcation qui essaye de se faire discrète « le navire