Choses Parisiennes :

Les poèmes qui entreront dans cette section doivent, d’après moi, être des poèmes qui dépeignent la ville de Paris, tout en mettant en scène des personnages, fictifs ou non, pour que le poème raconte un fait divers de la ville de Paris.
C’est pour cela que j’ai choisi ces trois textes :
Le premier, « Un Plaisant », dans lequel Baudelaire décrit un nouvel an dans les rues de Paris, où un homme souhaite la bonne année à un âne.
Le deuxième, « Le Fou et la Vénus », se déroule quant à lui dans un des parcs de Paris, et met en scène un pauvre bouffon désespéré qui s’adresse sans succès à une colossale Vénus de pierre.
Et pour finir, « A Une Heure du Matin », qui décrit la journée du narrateur avec de nombreux détails. Baudelaire nous montre ici ce qu’est une journée Parisienne.

Rêves :

Les poèmes qui entreront dans cette section doivent, d’après moi, être des poèmes qui traitent, interprètent ou même racontent un rêve.
C’est pour cela que j’ai choisi ces trois textes :
Le premier, « L’Etranger », dans lequel deux hommes parlent, et où l’un n’ayant aucune attache, aime à se perdre dans les « merveilleux nuages ». Les nuages sont souvent associés aux rêveurs, « il a la tête dans les nuages », c’est pour cela que je pense que ce texte parle du rêve.
Le deuxième, « La Chambre Double », dans lequel on retrouve de nombreuses fois des termes associés au rêve, comme « rêve », « rêverie » ou encore « sommeillant », mais aussi où l’on relève les couleurs, l’atmosphère du rêve.
Et pour finir, « L’invitation au Voyage », où Baudelaire décrit un univers peuplé de toutes les fantaisie de l’imagination. De plus, dès le début, on trouve l’expression « que je rêve de visiter ».

Symboles et moralités :

Les poèmes qui entreront dans cette section doivent, d’après moi, être des poèmes qui contiennent une morale, tout comme les Fables de La Fontaine, ou des symboles, c’est à dire des images à déchiffrer.
C’est pour cela que j’ai choisi ces trois