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LES DIFFÉRENTES POLITIQUES MENÉES DEPUIS L’INDÉPENDANCE N’ONT PAS PERMIS D’ASSURER UNE SÉCURITÉ ALIMENTAIRE
Le désastre de l’agriculture algérienne
El Watan, 25 mai 2008
En 2000, le lancement du Plan national de développement agricole (PNDA) réussit à susciter l’engouement chez les différents acteurs du secteur agricole. Bien que le PNDAR ait réussi à améliorer les rendements de nombreuses filières, les « crises » successives de la pomme de terre, du lait et des céréales ont démontré que la maîtrise de la production fait encore défaut.
La crise alimentaire qui secoue le monde a mis à nu les faiblesses de l’agriculture algérienne. On est bien loin du passé d’une Algérie, grenier de l’Europe, que des nostalgiques se plaisent souvent à évoquer. Le montant de la facture alimentaire est là pour rappeler la réalité. Notre pays est toujours dangereusement dépendant des marchés internationaux. L’Algérie se classe parmi les dix premiers pays les plus grands importateurs de céréales. Il en est de même pour d’autres produits agricoles tels que le lait en poudre, les huiles, le sucre et le café. Cette situation aurait été moins intenable si l’Algérie arrivait à exporter ce que ses terres produiraient afin d’équilibrer sa balance commerciale agricole. Mais seulement une quantité marginale de dattes, de vin et de quelques produits maraîchers a pu se frayer une petite place dans les marchés étrangers. Si l’on croit Mohamed Elyes Mesli, ancien ministre de l’Agriculture dans le gouvernement de Sid Ahmed Ghozali, cette situation n’est pas nouvelle. « Une rétrospective rapide montre que l’agriculture n’était pas si florissante avant 1962. Au milieu des années 1950, la balance commerciale agricole connaissait un fléchissement net. Le pays allait vers un déficit », souligne-t-il, battant en brèche l’idée selon laquelle l’agriculture connaissait un certain essor durant la période

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