BeaubourgLéa Tual
Zola Mooney
NIamh Bedon
1ES1
Petit parcours à Beaubourg
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a. Nous pouvons faire le lien entre Prismes électriques de Sonia Delaunay et la littérature notamment grâce à l’insertion de texte, de mots peints sur le tableau tels que “prose” et
“texte”. De plus, l’oeuvre semble de près chaotique, toutefois, dans son ensemble cela forme un tout: de loin on peut distinguer des formes et des personnes. Cela peut être assimilé à la littérature dans le sens où ce ne ne sont pas les mots …afficher plus de contenu…

Cette idée est renforcée par l’idée que ce masque a les sourcils froncés, et paraît donc triste, un oeil est même bleu, ce qui indique une certaine tristesse. Pourtant, lorsqu’on regarde la bouche, celle-ci sourit : “C’est en riant que Gwynplaine faisait rire. Et pourtant il ne riait pas. Sa face riait, sa pensée non.”
Aussi, c’est une oeuvre d’art, or Gwynplaine est souvent comparé à une oeuvre d’art par
Victor Hugo; “une tête de méduse”, et aussi le masque de la Comédie. Or l’oeuvre à été commentée par Hugo Ball, un écrivain, un poète et un homme de théâtre, fondateur du dadaïsme tout comme Marcel Janco et décrits les masques de celui tel que “Ils font …afficher plus de contenu…

D’abord on a trouvé très drôle et mignon l’idée d’exposer des pains tout ronds dans un musée. Ils ressemblent à de petits animaux qui dorment. Cette oeuvre se trouve dans la salle pop art et on voit bien qu’elle fait partie de ce mouvement. Watts veut peut être exprimer l’absurdité du monde de l’art ou de la société de consommation. Le pain est une chose extrêmement ordinaire mais Watts en fait une oeuvre d’art. Ce pourrait aussi être une parodie du genre classique de la nature morte. Les pains sont peints en nuances de gris de plus en plus sombre, ce qui montrerait les étapes de cuisson. Le dernier est en