Beaudelaire-images de mélancolie morbide
Baudelaire véhicule des images de mélancolie avec des personnages qui restent passifs à ces monstres, à un climat inhospitalier, en décrivant les personnages comme des pauvres victimes. * Personnages restent passifs : ¨Elle enveloppait et opprimait l’homme de ses muscles élastiques et puissants¨+¨aucun de ces voyageurs n’avait l’air irrité contre la bête féroce suspendue à son cou et collée à son dos; on eût dit qu’il la considérait comme faisant partie de lui-même. Ils ne savent pas où ils vont et ça ne les dérange pas. * Personnages comme de pauvres victimes : ¨Tous ces visages fatigués et sérieux ne témoignaient d’aucun désespoir, les pieds plongés dans la poussière d’un sol aussi désolé que ce ciel, ils cheminaient la physionomie résignée de ceux qui sont condamnées à espérer toujours. * Atmosphère inhospitalière : ¨Sous un grand ciel gris, dans une grande plaine poudreuse, sans chemins, sans gazon, sans un chardon, sans une ortie.¨ Ce champs lexical représente qu’il n’y a pas d’issue à cette chimère. Le ciel est gris, il n’y a pas de vie(ortie, gazon, chardon)
#2 Montrez que le dégoût de la vie menace de l’emporter sur le rêve et l’espoir dans Chacun sa chimère.
Tout au long du récit, Baudelaire parle des hommes qui portent leur misère et leur tristesse sur leur dos sous la métaphore d’une Chimère. Cette chimère, bien évidente soit-elle, laisse les hommes indifférents. En effet, lorsque Baudelaire questionne un de ces hommes, il lui répondit : ¨Qu’il n’en savait rien, ni lui, ni les autres; mais qu’Évidemment ils allaient quelque part, puisqu’ils étaient poussés par un invincible besoin de marcher.¨ Les hommes sont notamment indifférent mais ils se laissent pousser par cette force inconnue vue qu’ils ne connaissent aucun autre motivation. Baudelaire se questionne sur la venue de cette indifférence. Il remarque une chose curieuse soit