Bel ami
a)la crainte d’être ridicule, sentiment de honte.
b)étonnement et métamorphose du personnage.
c)un stratège
II.Le jeu de miroir
a)le dualisme, jeu de rôle.
b)le décalage entre l’être et la paraître.
III.L’art de la description.
a)une description réaliste.
b)la théâtralisation : une montée symbolique des marches.
I.Ambivalence des sentiments du personnage.
a)la crainte d’être ridicule, sentiment de honte.
-crainte d’être ridicule> expression métaphorique « le cœur battant »> angoisse du personnage.
-il est pétrit d’angoisse à l’idée de faire son entrée dans le monde > expression hyperbolique « harcelé surtout par la crainte d’être ridicule> montre bien le décalage entre le personnage et le milieu qu’il tente d’intégrer.
-focalisation omnisciente qui permet à l’écrivain de nous retranscrire tous les sentiments de son personnage> expression « l’esprit anxieux « >c’est comme si le lecteur pouvais
-impression de vivre un évènement essentiel dans sa vie> adverbe « il montait lentement les marches » > l »adverbe lentement traduit ses incertitudes et ses hésitations.
b)étonnement et métamorphose du personnage.
-on peut évoque l’évolution des sentiments du personnage> antithèse entre crainte et moment de joie> évoque la métamorphose du personnage.
-il est fasciné par sa propre personne >le paradoxe « il ne s’était même pas reconnu> ca évoque le changement radical qui s’est opéré dans son apparence.
-forme de fascination un peu narcissique > »en se regardant avec soin » > jouissance dans la réflexivité et l’observation de soit.
-sa première réaction est l’étonnement la surprise>forme emphatique c’était lui même « et expression « demeurât stupéfait »> décalage entre l’être et le paraître, il ne se reconnait pas.
c)un stratège
-Georges Duroy est un fin stratège > comparaison « il s’étudia comme le font les acteurs »> il est un arriviste prêt à tout pour parvenir.
-il est dévoré