Bel AMi
Le mariage est triomphale, on remarque encore l'ego de Du Roy par « il ne pensait qu'à lui ».
On à presque un vis-à-vis avec l'église de la Madeleine et la Chambre des députés, ayant tout deux des colonnes en façade.
Du Roy passe d'un espace clôt, l'église, à un espace ouvert, le parvis de l'église, où il a vu sur Paris.
« Ses yeux éblouis par l'éclatant soleil » rappelle le 28 juin, au début de roman, « l'éclatant soleil » montre la gloire de Du Roy.
On se rend compte que le mariage avec Suzanne n'était qu'un moyen de plus dans son ascension sociale.
« Il descendit avec lenteur » donne un aspect triomphal à la scène, « deux haies de spectateurs » fait penser à une haie d'honneur. Il voit son succès présent et futur, sa réussite et Mme de Marelle.
Conclusion
En cette fin de roman Georges Du Roy se marie avec Suzanne Walter et accède à la réussite et à la fortune tant souhaitées. Cependant le parcours du personnage ne s'arrête pas là : le lecteur peut imaginer une suite à l'histoire, puisque Bel-Ami tourne son regard vers le Palais-Bourbon et projette de poursuivre son ascension sociale par une carrière politique. Il s'agit donc d'un dénouement ouvert.
On peut penser de Bel-Ami qu'il est plus un antihéros qu'un héros, un protagoniste.
1 | 0 modélisateur. On ne parle pas de religion mais de religiosité.
Le narrateur veut sacraliser l'instant. On observe le champ lexical de la religion. Il est dans l'Eglise par nécessité, mais il ne pense qu'à lui, qu'à sa gloire, à sa réussite.
« Divinité » est un mot qui choque, cela rappelle les idoles, il faudrait dire Dieu, cela montre qu'il n'a pas de connaissance. On remarque aussi tous les non-dits. Bel-Ami devrait offrir sa foie, son amour, sa femme, sa vie de couple,