benevolat
Point
de vue
A mon avis, je ne suis pas convaincu que l’idée de forcer des jeunes à faire du bénévolat est idéale, mais je me demande aussi, si l’idée ne nous aurait pas été forcée, aurions-nous délibérément pris l’initiative de commettre notre temps précieux à un travail qui ne rémunère pas? En toute probabilité, la réponse serait non. Par ailleurs, je suis convaincu d’une meilleure solution.
Tout d’abord, beaucoup de jeunes de mon âge préfèrent aller travailler et être rémunérés plutôt que faire des heures de bénévolat. On a de leur apprendre que l’engagement communautaire est un devoir très récomênsant. D’ailleurs, la journaliste
Sophie Hélène Leboeuf de Radio Canada, avait interviewé l’ancien premier ministre Jean
Charest pendant les élections de 2012. Il avait ajouté qu’il était contre le bénévolat forcé, qu’il fallait éduquer pour que cela dure toute une vie. De plus dans les Écoles
Internationales, l’engagement communautaire fait partie intégrante du programme du secondaire. Chaque année, dans les écoles de la CSRS, 3500 heures de bénévolat sont effectuées dans les organismes de la région de Sherbrooke. Je suis bientôt rendu à la fin de mon cursus secondaire, je réalise que le vrai bénévolat n’est pas celui que l’on fait par obligation, mais celui pour lequel je peux prendre et faire plaisir et me réaliser.
D’après moi, les heures de bénévolats forcées devraient nous être imposer sous forme de cours éducatifs sur le sujet. Cette formation permettra de nous initier au bénévolat, de comprendre sa valeur, son avantage, son rendement á la société ainsi que sa gratification personnelle. Ceci va sans dire que cette formation nous aidera a choisir le chemin qui nous intéresse et finira donc par être a un projet á