Hamilton defendait que le principe de la fortune devait jouer un role dans la selection des dirigeants. Les anti fed pronait la representation des membres de la sté par leur propres membres, representation fidele a la société, irréalisable selon lui.
Les fed partageaient au fond l’intuition des anti fed, c a d que la difference entre electeurs et elus serait favorié par la dimension des circonscriptions electorale. L’idée déféndue, et appuyée par Wilson affirme que plus grande est la circonscription, meilleure est la représentation. Madion défend cette idée aussi

Madion réfléchit au droit de suffrage, selon lui on ne doit pas le limiter a la propriété
Il propose plusieurs solution par ex : Un suffrage censitaire sous condition de propriété mais l’éléction d’une partie du legislatif élu par les non propriétaires. C’est non équitable, d’autres solutions sont proposées, mais pour li quoi qu’il arrive la propriété reste centrale, elle donne une influence, donc une information supérieure, plus d’éducation, donc de justice.

Les 2 camps acceptaient une autre idée : le peuple décide de son plein gré d’élire des personnes fortunées et éminentes, meme sans conditions. Une condition légalere devrait cependant etre mise en place ( cens d’éligibilité) car l’idée que gde circonscription = election de l’ « aristocratie » repose sur l’experience, mais ce n’est pas tjrs le cas. Une condition formelle de pté aurait contraint la chose.
Meme si gde taille des circonscriptions et les conditions d’éligibilité étaient 2 moyens pour favoriser les catégories sociales supérieures, on note une certaine flexibilité du systeme.
D’autre part, si l’organe représentatif n’est réservé qu’à certaines catégories il aurait fallu changer la loi pour abolir cet avantage. Aux E .U le changement des conditions n’aurait pas dépendu de l’approbation des representants elus en vertu de ces conditions, revision constitutionnellle.

En gros, la diversité géographique des EU qui avait empeché les