1. Dans cet extrait de la Propédeutique philosophique, Hegel se demande si la peine doit être fondée sur la menace. Il veut nous montrer par des moyens essentiels que l’homme n’est pas en désaccord avec lui-même lorsqu’il franchit la loi, mais avec la sanction de celle-ci. Ainsi, l’être humain n’a peur que de la sanction qu’il peut subir s’il enfreint une loi. Cela ne veut pas dire pour autant qu’il est en accord avec elle. Par ailleurs, cette extrait nous expose aussi que la loi est utilisé comme une menace. Le fait d’avoir la présence ne cette menace suppose que l’être humain n’es pas autant libre qu’il n’y croit. La menace essaie de contraindre l’individu par la représentation d’un mal. Hegel prend ci contre l’exemple d’un maitre et de son chien ; le maitre agite le bâton devant le chien pour dire « attention, si tu fais ceci ou cela, tu subiras un coup de bâton » Il menace ainsi le chien d’exécuter une sanction si celui-ci ne respect pas la loi. 2. L’expression « l’homme n’y est pas traité selon sa dignité et sa liberté » se situe dans le dernier moment de cet extrait, lorsque Hegel prend l’exemple du maitre menaçant le chien en agitant un bâton. La peine n’a pas une fonction morale, ceci ne considère que l’aspect purement subjectif. Hegel traite les hommes d’une manière bien peu digne. Il affirme que l’on ne traite pas l’homme en être libre, mais comme un animal que l’on conditionne par la menace. Hegel veut ici nous faire comprendre que l’homme n’est pas aussi libre qu’il le pense. Il accuse la menace que la loi impose par la peur de la sanction. L’homme est comparé au chien que l’on croit si différent de nous, il n’a aucune dignité et n’es pas libre, dépendant de son maitre. Hegel nous démontre donc que l’on n’est pas si loin de lui qu’on ne le pense, et que notre liberté et notre dignité est restreinte par la menace de la peine qu’entrainerai la transgression de celle-ci. 3. Hegel affirme ici que même sous la menace, l'homme peut commettre un crime