Nous avons donc été confronté à plusieurs sortes de parachutes, présentant tous des avantages et inconvénients d’ordres techniques.

Le parachute cruciforme ou en croix :

Les avantages de ce type de parachute sont qu’ils sont facilement fabricables ou dénichables dans le commerce, et que la descente du projectile (ici la canette) est stable.

Leurs inconvénients résidents dans le fait qu’ils permettent une descente d’environ 3m/s, ce qui ne correspond pas aux restrictions de 8 à 11 m/s du concours , et qu’ils sont plus approprié à des projectiles ayant un poids 2,3 et 4,5 kg , alors que le concours ne tolère une masse que de 350g et inférieure.

Le parapente :

Ce type de parachute agit un peu à la manière d’une aile, ce qui lui permet donc de faire planer son projectile, et ainsi de mieux gérer la direction à prendre. Ils consistent donc plus en une sorte de loisir pratiqué par les hommes qu’à une méthode efficace pour faire descendre notre type de projectile, puisque ces derniers sont plus à même de tirer sur les cordes pour indiquer la direction à la voile du parapente.

De plus, ils constituent en une fabrication complexe.

Les parachutes « plats » ou « circulaires » :

Ce sont de parachutes constitués de morceaux de tissus de forme triangulaire qui, une fois assemblés, dessinent une forme de polygone régulier tels que les hexagones, octogones, etc.
Ils permettent d’une part un calcul facile de la descente du projectile, en fonction du rayon du cercle circonscrit au polygone, et donc d’un des cotés isocèle des triangles choisis.

D’autre part, ils sont faciles à fabriquer et peu onéreux.

Le parachute hémisphérique :