Biennale
L’énorme quantité d’affiches dans les rues, aux transports en commun, aux magasins -n’importe où, n’importe comment-, les papiers, les programmes, le bouche-oreille a fait aussi son travail en moi.
J’ai vu quelques vidéos et lu quelques articles ; j’ai acheté quelques places. La Biennale a commencé à prendre forme dans ma tête d’une forme vague, sous la brume de l’inconnaissance, dans une ville qui venait de commencer à apparaitre dans ma carte intérieure, dans moi.
La Biennal a pris forme comme un Festival d’Avignon mélangé au Carnaval, et au Mercat de les Flors, et au Festival Grec, –car on dit que l’on ne peut imaginer qu’une mélange de ce qu’on a déjà vu et vécu.
La Biennal a changé cette forme prise quand elle est arrivé à moi comme une pluie qui tombe, sans ordre, formée de trop de gouttes pour qu’on puisse les sentir toutes.
J’ai réussi, néanmoins, et malgré tout l’univers lyonnais qui me tombait dessus ces premiers jours, à avoir quelques gouttes de Biennale.
Voici quelques gouttes des gouttes que j’ai reçues, organisées en fiches, classifiées chronologiquement, formées de quelques mots objectifs, quelques images, quelques mots de subjectivité…
Voici mon carnet de bord, mes mots Autour de la Biennale de la Danse :
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[ 2 ]. http://mercatflors.cat/
[ 3 ].