bilan articulaire
Diarthroses : enarthroses, trochoïdes, trochléennes, en selle, arthrodie, gynglime.
Syssarcoses.
Os et cartilage hyalin, ménisques, capsule articulaire, synoviale, liquide synovial, ligaments, tendons musculaires, mécanorécepteurs, plan de glissement (muscle, bourse séreuse, aponévrose)
I) Observation articulaire
1. Les conditions.
Il faut que le patient soit installé confortablement (détendu), relâché au plan de l’activité motrice qu’elle soit volontaire, automatique ou réflexe.
Les explications du praticien doivent être claires, et il faut respecter la règle de la non-douleur.
La position articulaire révèle :
Une malformation ou conséquence d’une pathologie
Choix du patient
Simple habitude
Influence d’une articulation adjacente.
Conséquences
Observation généralisée
Volume articulaire
Amyotrophie
2. Palpation et mobilisation articulaire.
Palpation = petite dépression interligne articulaire : type d’articulation, petits mouvements, traction
Capsule
Formation ligamentaires
Repérage manuel
Repères osseux : la ligne iliaque passe par L4 – L5
Mobilisation articulaire :
2 types de mouvements
Glissement, bâillement, rotations axiales, décompression, décoaptation
Examen : il faut mettre l’articulation dans une position qui évite un verrouillage passif par une mise en tenson des structures capsulo-ligamentaires, musculaires et / ou osseuses.
Regroupe les mouvements correspondant aux degrés actifs
Mouvements de grande amplitude, F/E dans le plan sagittal, ABD / ADD dans un plan frontal, et RL / RM dans un plan horizontal.
Attention à toujours définir les plans et les axes.
Conditions pour rechercher ces mouvements de grande amplitude :
Position raccourcie des muscles poly articulaires.
Ex pour le genou : hanche en extension pour détendre les ischiojambiers cheville : pied en flexion dorsale)
Contre-prise : efficace, stable, ferme.
Connaissance du type articulaire
Toucher le sol avec ses mains : 50% du mouvement dans les hanches et 50%