Première partie

1- Quelles sont les caractéristiques économiques de la biodiversité ?
La biodiversité est définie comme englobant la totalité des êtres vivants, y compris les micro-organismes, ainsi que les services rendus par les écosystèmes (c’est-à-dire les bienfaits que les gens retirent des écosystèmes, comme par exemple l’agriculture grâce à la pollinisation). En ce sens, la biodiversité est un bien public mondial car il répond aux critères instaurés par Paul Samuelson. À savoir que la consommation d’un bien par un individu ne doit entraver la consommation d’autre individu (critère de non-rivalité) et que personne ne peut être exclut de la consommation de ce bien (critère de non-exclusion). Ainsi, l’air est un bien public, parce que le fait pour un individu de pouvoir le respirer ne le rend pas plus rare pour les autres et qu'on ne peut empêcher personne de respirer.

2- Comment les comportements des agents économiques affectent-ils la biodiversité par des effets externes ?
Les activités humaines et les modes de consommation non durables entraînent la disparition ou la dégradation des écosystèmes. Les principales causes de cette dégradation sont nées avec le développement économique et la croissance démographique. Et se traduisent par la dégradation des milieux naturels, la surexploitation des ressources, l’introduction d’espèces envahissantes, la pollution et le changement climatique. De ce fait, les biens publics mondiaux ont du mal à être préservés. Les ressources naturelles en eau en sont un exemple. Effectivement, la pollution occasionné par l’homme (ménages et entreprises) nuit de plus en plus aux réserve d’eau, ainsi chaque jour deux millions de tonnes de déchets sont déversés dans l’eau et sont à l’origine de pénuries d’eau et/ou de maladies comme le paludisme.

Deuxième partie
Cette note s’adresse au responsable du pôle « développement durable » de la Région.
Il s’agit de l’aider à préparer la réunion au cours de laquelle il