Biotechnologies
France confrontée à des problèmes concernant les nanotechnologies : * manque de financement * trop peu d’entreprises dans le secteur et trop petites * problème d’organisation privé/public * opinion publique qui soulève les incertitudes / santé et environnement
les nanoparticules peuvent renforcer la dureté d’un matériau, sa résistance.
Présentes dans les matériels informatiques, cosmétiques et secteur médical
(ex : appareils électroniques, crèmes solaires, cadres de vélo, vêtements, pneumatiques…
Potentiel : économie de matière, lutte contre la pollution, guérison des maladies, voire éradication de la faim
Opinion publique favorable aux nanotechnologies : 77% des sondés pensent que l’Europe devrait encourager les agriculteurs à tirer profit des nanobiologies.
La France reste à la traîne malgré l’aide publique.
Les NBIC existent depuis 30 ans aux USA, le montant moyen des investissements dans ce secteur en France a baissé en 2009, moins de 15 entreprises cotées en France dans ce domaine (soit 4 fois moins qu’au RU)
Frein : manque de connaissances techniques des investisseurs dans les biotech = processus de recherche longs et coûteux (souvent délai de 10 ans avant d’espérer un retour sur invt)
La collaboration public/privé a du mal à se mettre en place , il faut valoriser la recherche en France. Le gouvernement a lancé quelques réformes depuis qq années mais le crédit d’impôts recherche semble avoir bénéficié d’avantage aux laboratoires de grande taille qu’aux PME.
Voies d’amélioration possible : diffuser la culture de l’innovation qui conditionne la prise de risque et développer une meilleure formation en demandant plus d’analystes financiers dans les biotechnologies.
L’industrie du diagnostique in vitro
Il s’agit des sociétés qui inventent, produisent et commercialisent les réactifs de laboratoire et dispositifs médicaux utilisés en analyse médicale pr le dépistage,