Bla bla
Jeanne en plus d’avoir était trompé pas son mari, doit supporter la géhenne non voulu de sa progéniture.
La douleur paraissant à première vue supportable « de temps en temps, poussait une faible plainte » bien que l’on comprend que ce n’est pas le cas en la qualifiant de « malade ». Son état resta ainsi durant deux longue heures comme l’explique : « pendant deux heures, on put croire que l’évènement se ferait longtemps attendre », avant que les douleurs ne réapparaissent comme un choc pris de plein fouet « tout à coup avec violence »se faisant progressives jusqu’à devenir « épouvantables ». Les douleurs de Jeanne sont insupportables au point qu’elle ne peut contrôler son corps (« dont les cris involontaires… »). Pour souligner l’intensité montante, les douleurs deviennent des « crise » et l’ajout de l’adverbe « tellement « devant l’adjectif « violent » amplifie la description du mal ressentit, et le narrateur nous fait croire qu’il est paralysant , qu’il ne laisse plus de place à la réflexion même pour se rendre compte de la situation : « …que toute idée s’éteignait en elle » mais uniquement une « connaissance pour souffrir » . Vers l’arrivé du moment critique la crise transformer en « convulsion effroyable » défini comme «un spasme cruel », le narrateur omniscient nous fait voir ses pensée « Je vais mourir. Je