Blabla
En moins de trente ans, Montpellier a davantage changé que durant les deux siècles précédents.
Elle est passée du 25e rang des villes françaises au 8e rang.
Pour accompagner cette croissance, Montpellier mise sur le développement durable en intégrant le long terme, l'environnement, le progrès social et le dynamisme économique dans sa stratégie urbaine.
Poursuivant l’application de l’Agenda 21 décidé par la Conférence de Rio, la Ville a mis en place en juillet 1999 une commission extra-municipale afin d’informer le grand public sur les organismes génétiquement modifiés (OGM).
Montpellier fait également partie du réseau français des Villes Santé de l’Organisation mondiale de la santé (OMS).
Enfin, avec Montpellier Agglomération la Ville s'engage dans la lutte contre la pollution en développant le concept de l'écomobilité, qui combine l'ensemble des modes de transports mis à la disposition des citoyens.
Port Marianne Rive Gauche, plein soleil sur un quartier durable Le projet d’un quartier durable
Pour sa treizième Zone d’aménagement concerté (ZAC), la Ville de Montpellier fait du développement durable.
Ce nouveau quartier dénommé « Port Marianne - Rive gauche » est situé au Sud de la ville dans le prolongement du quartier Jacques Cœur, le long du Lez et s’étend sur 9 hectares environ.
Sa particularité est d’avoir été entièrement conçu selon les principes du développement durable. Des priorités environnementales, économiques et sociales à l’échelle de la ZAC sont définies par des choix urbanistiques, architecturaux et techniques en accord avec le site.
Ce quartier utilise à son avantage les éléments naturels comme l’humidité du Lez, les vents dominants, le soleil afin d’optimiser le confort du quartier et des logements et réduire les consommations énergétiques.
Pierre Tourre, l’architecte en chef de la ZAC va à l’inverse des pratiques, il s’oppose à la minéralisation systématique des quartiers.
Vivre et habiter la ZAC