Quand on est gamin, toutes les histoires qu'on nous raconte doivent comporter une partie « morale finale » de manière à nous apprendre quelque chose. Que ce soit par le drame ou par l'heureux dénouement, il est quasiment impossible d'échapper à la petite leçon de fin d'histoire qui, dans l'idéal, doit nous hanter toute notre vie et nous aider à nous constuire de façon équilibrée.
Cela va du simple « Soit gentil avec papa-maman » au « Si ta vie est semée d'embuches, n'aie crainte, tout finira par s'arranger »,
Les dessins animés sont avant tout des contes, qui comme les fables visent à instuire les jeunes enfants de la Bourgeoisie, mais aussi de faire réfléchir le lecteur pour qu'il prenne conscience des problèmes de son époque, éduquer avec une morale ou éduquer en divertissant. Ce qui peut différencier: la fable est écrite en « vieux » français et le conte en français « moderne ». Seul Charles Perrault s'intéresse au sort des enfants, qui grâce à lui sont reconnu à la fin du XVIIIe Siècle
Les dessins animés plaisent aux enfants car ils retiennent leur attention avec les formes, les musiques, les voix, le décor etc... On éveille les enfants, on les initie tout en douceur au monde et c'est ça le début de l'éducation.
Tout commence avec Esope, VII-VIe Siècle avant J-C, il serait l'inventeur des fables.
Corneil et Jean de la Fontaine le succède au XVIIe Siècle
Chez Disney, pour rendre immortelles ces récits, ils ont simplement repris toutes les histoires qui ont bercé des millions d'enfants à travers des siècles pour en faire des films fondateurs, que nous citons encore vingt ans plus tard. Disney reviste tout les mondes: régne animal, végétal, humain...
Un exemple littéraire celui de « Blanche-neige et les sept nains » qui est avant tout un conte des frère Grimm dont Disney s'est inspriré, une histoire simple et merveilleuse commençant par « Il était une fois » faisant référant à un conte et dont une des morale implicite est : « Il ne faut pas s'attacher à