Blop
En travaillant sur la dénaturation des créatures monstrueuses dans les sociétés matérialistes, on s’est rendu compte qu’elle était paradoxale.
On entend par société matérialiste, une société de paraître et de l’avoir :
Nous allons donc démontrer comment des créatures inspirant la terreur ont-elles cédés le pas aux rêves dans les sociétés matérialistes.
Pour répondre à la problématique, on a sélectionné trois créatures qui nous semblaient les plus représentatif du paradoxe qui existe entre le fait qu’avant, ces créatures bestiales se rapprochaient de l’homme par les différents caractères humains qu’elles incarnaient, mais s’en éloignait d’un point de vue physique. On était vraiment dans l’acceptation de soi, de ce que l’on est vraiment. Alors qu’aujourd’hui, leur représentation les humanisent mais elles sont vides de sens puisqu’elles nient la complexité de l’âme humaine.
Conclusion
Au final, la représentation des dragons, des sirènes et des fées est une image factice en concordance avec la société. Elles ne sont plus qu’une façade de nous-mêmes.
Cette représentation plus féerique résulte d’un éloignement de la compréhension humaine bien qu’il y ait plein de sciences pour la comprendre (psychanalyse, psychothérapie…). C’est un reflet d’une société un peu angoissée qui cherche à tout expliquer par la science. (Exemple amour)
On peut aussi dire qu’en modifiant l’image des monstres vers une image plus positive, on essaie de gommer les défauts des hommes dans une vaine tentative de négation afin de d’obtenir une image lisse de nous-mêmes.
C’est pour cela qu’elles ont changé dans notre vision car avant elles étaient dans un monde de mystère, plus