Bonheur du survenant
Argument principal 1
Argument 1 : Le bonheur du Survenant réside dans le nomadisme.
Sous-argument 1 : Le bonheur du Survenant réside dans l’absence d’une résidence fixe.
Sous-argument 2 : Le bonheur du Survenant réside dans la quête du nouveau.
Sous-argument 3 : Le bonheur du Survenant réside dans le rejet de tout lien d’attachement.
Argument principal 2
Argument 2 : Le bonheur des habitants du Chenal du Moine réside dans le nomadisme.
Sous-argument 1 : Le père Didace remarie l’Acayenne.
Sous-argument 2 : Angélina tombe follement amoureuse d’un passant.
Sous-argument 3 : Les invités des Beauchemin sont subjugués par les histoires d’un étranger
Étape 2 : Rédaction
Le bonheur du Survenant se retrouve dans sa vie nomade où il est victime d’une absence d’une résidence, d’une quête du nouveau et d’un rejet des liens d’attachement. Venant cherche son bonheur dans le voyage et le mouvement, par conséquent, il est devenu voyageur de profession. Il change d’adresse aussi souvent qu’il mange un repas et affirme lui-même que « quand [il avait] demeuré un mois à un endroit, c’était en masse. »(p. 165). C’est grâce à ses nombreux déménagements qu’il a pu acquérir un grand bagage d’expériences et de connaissances diverses. Toutes ses histoires, ses chansons, sa connaissance des métiers ainsi que ses techniques de chasse et d’agriculture, il les a apprises sur la route. Ce mouvement continu crée chez le Survenant un besoin, une dépendance, de voyager et cela devient instrumental à la poursuite de son bonheur. Aussi, le Grand-dieu-des-routes est constamment à la recherche du nouveau, que ce soit de nouvelles expériences, de nouvelles chansons ou de nouvelles gens. Au Chenal du Moine, le Survenant a vécu beaucoup de nouveauté, la vie familiale des Beauchemins, surtout au sujet de la figure paternelle de Didace, qui le dotait plus que son propre fils Amable, et de la fraternité de la