L’intelligence : analyse d’un concept équivoque au passé trop lourd et au futur incertain.
«L’intelligence est la faculté de comprendre, de saisir par la pensée.» Le Petit Larousse. Cette définition est très vague et ouvre une grande réflexion sur ce sujet. Il y a eu énormément d’études, de recherches qui ont été élaborées pour tenter d’expliquer et par la même occasion quantifier ce concept qu’est l’intelligence. Je vais donc en développer les multiples facettes des techniques et les conséquences que celles-ci ont eu comme impact ou au contraire les points positifs, avancées scientifiques qui ont été rendu possible grâce à certain chercheur.

Premièrement, il faut savoir que lorsque l’on parle d’un passé trop lourd en évoquant le concept d’intelligence, on peut tout de suite illustrer ceci avec l’apparition de l’eugénisme au XXème siècle qui a été renforcé par l’afflux d’immigrant entrant dans le « Nouveau Monde ». Mais revenons tout d’abord aux origines de l’approche de l’intelligence qui a été inaugurée par le Britannique Francis Galton qui a voulu mesurer scientifiquement cette dernière chez l’être humain. Il est persuadé que cette faculté reste uniquement héréditaire. Partant de ce principe, il considère incompréhensible, que l’on puisse garder des personnes, qu’il traite d’ « inapte » dans une société qui veut avant tout évoluer, se développer intellectuellement. On perçoit ainsi donc les premières forment d’eugénisme qui vont se propager aux Etats-Unis, puis en Europe. Beaucoup d’Etats américains adoptèrent des politiques eugéniques, prétextant le déclin de l’intelligence américaine. On peut comprendre, que l’intelligence, plus particulièrement le patrimoine génétique chez Galton inspire plusieurs pays à opter pour une politique dite eugéniste mais heureusement celles-ci ont été abolie comme le nazisme qui en était un dérivé. Quand bien même l’Immigration Act américain a été abrogée en 1962 seulement.

Bien que cette mentalité de sélection naturel