Théobald Apolline2nde10 L’œuvre « Première neige » de Guy de Maupassant semble être un texte cherchant à émouvoir le lecteur, comme on peut le voir par le choix du personnage principal qui est une femme malade destinée à mourir dans l’année avenir.

On remarque que le texte est divisé en trois paragraphes. Dans un premier temps, Maupassant présente le cadre de l’histoire en indiquant le lieu et le moment de l’histoire. Pour cela, il utilise un vocabulaire descriptif comme par exemple : « à gauche », «là-bas », « c’était un tiède jour d’hiver » … En second lieu, on identifie rapidement le personnage principal par la présence des mots : « une jeune dame » ou encore « elle » dans le deuxième et le troisième paragraphe.L’auteur met en scène des actions en utilisant des verbes comme « souriait », «respire » pour ainsi rendre le texte plus vivant en faisant agir le personnageOn relève plusieurs figures de style qui apparaissent dans l’histoire ; on constate la présence de champs lexicaux « contraires » : celui de la vie qualifié par les mots « sourit », « la mer si bleue, si tranquille, si belle » … et celui de la mort par les mots « cercueil de chêne », « morte », « tousse », « fatiguée ».Le champ lexical de la vie est une sorte de lueur d’espoir au triste sort qui attend la jeune femme. Le champ lexical de la mort oblige un retour à la réalité tout en rendant l’histoire plus triste.

On constate à première vue que les mots surlignés en rose sont présents uniquement dans le premier paragraphe. Après une première lecture on comprend que l’auteur commence son texte en décrivant le cadre où se situe l’histoire.On remarque que l’auteur personnifie les « objets » du décor en leur attribuant une action qui serait impossible à réaliser en réalité, comme par exemple : « L’Esterel s’avance », « les îles Sainte-Marguerite et Saint-Honorat couchées dans l’eau, montrent leur dos », « montagnes assises ». Les mots en violet font référence à « la jeune dame