Brise marine .
Ce mouvement, par opposition au réalisme et au naturalisme, veux grâce aux symboles atteindre une vérité supérieure et abstraite caché derrière une réalité concrète.
Nous étudierons ici, un poème de Mallarmé s’intitulant Brise marine qui traite de l’ennui du quotidien en développant l’idée de la vie contingente du poète et de son exclusion. Mais l’auteur nous présente également son envie de l’ailleurs ainsi que le rêve et les risques d’un voyage.
En effet ce texte traduit l’ennui que ressent le poète comme le montre l’utilisation du présent de généralité ainsi que les rythmes monotones dans le premier vers. Cet alexandrin se partage en deux hémistiches. La césure qui est un point d’exclamation accentue son désespoir. Quand Mallarmé écrit « La chair est triste, hélas! Et j’ai lu tous les livres » , on remarque son insatisfaction, Il connaît tous et plus aucun plaisir ne l‘attire. Cette hyperbole nous révèle que la société ne peu plus rien lui apporter. Son « Ennuie » est aussi exprimé aux vers 11. Le nom est écrit avec une majuscule ce qui permet de lui donner encore plus d’importance . L’ « Ennuie » traduit un appel du vide, tandis que l‘oxymore « cruels espoirs » exprime l’espoir renaissant mais toujours déçu. . « Rien » ne peut retenir Mallarmé, ni ses souvenirs exprimés dans ce poème par « les vieux jardins », ni sa femme et son enfant. La répétition du « ni » dans