Dans ce premier acte on nous expose la situation initiale tout en rentrant directement dans “l’histoire “En effet Agrippine perd de plus en plus l’autorité qu’elle a sur son fils, alors qu’ellel’avait aidé à atteindre le pouvoir « Je le craindrais bientôt, s’il ne me craignait plus ». Pour cela on retrouve au petit matin Agrippine assoupie devant la porte de l’empereur son fils qui refuse de voirsa mère. Puis Burrhus (le précepteur de Néron) indique à Agrippine que césar ne sortira pas de sa chambre en rappelant le poids qu’est sa mère pour lui. En effet il aimerait se libérer de sa mère etil est en droit. Fait important, Néron a fait enlever Junie, amante de son beau-frère, Britannicus (autre fils d’Agrippine eu avec feu son mari). Scène III, Britanicus arrive au palais affolé parl’enlèvement de sa promise “tout ce que j’ai perdu, Madame, est en ces lieux “Dans ce premier acte on pourra donc retenir comme fait important les inquiétudes d’Agrippine qui voie qu’elle perd du contrôle surson fils et donc sur l’empire. On retiendra également l’enlèvement de Junie qui sera important pour la suite.
Dans le II acte, après la “capture “de Junie, la compagne de Britannicus, Néron voyantJunie dans tous ses états devient fou amoureux de cette dernière et tente de l'aborder : “Et quel est donc, Seigneur, cet époux ?
_ Moi, Madame. “Cependant, Britannicus, qui était dans le palaisdemande à voir la « princesse ». Néron accepte ce rendez-vous mais surveille cette rencontre « Madame, en le voyant, songez que je vous vois. ».Durant ce dialogue Junie est censé mettre fin à l’amourqu’il y a entre elle et Britannicus. Mais voilà l’amour entre Britannicus et Junie est trop flagrant, Néron, jaloux, va décider de tuer son beau-frère. Ce qu’il faudra donc retenir de l’acte II, c’est sansdoute la jalousie de Néron et donc l’amour puissant entre “la prisonnière“ et Britannicus.
C’est à partir de l’acte III que l’on entame vraiment le cas du “trône“ de Rome. En effet... [à continuer]