Le monologue de Figaro ( Acte V scène 3 de Le mariage de Figaro) peut être vue comme un résumé de l'intrigue puisque Figaro y relate tout ce qui a eu lieu précédemment dans la pièce. Il faut noté qu'il s'agit toutefois de l'intrigue observé de son point de vue. Car il croit que Suzanne et de mèche avec le compte Almaviva.
Il y a aussi beaucoup d'information du passé, allant de son rôle dans la pièce précédente jusque plus loin encore dans son passé.
Ceci a pour effet de développé et montré les multiples facettes du personnage de Figaro et sa polyvalence ; on le voit par exemple quand il énumère ses ancien métier, très différent et illustrant ses multiple talents.
Cependant même s'il est facile de voir les « axes » du monologue on peut se demandé quelle est sont utilité, s'il ne fait que parlé du passé que l'on connaît quel en est l’intérêt pour l'intrigue de la pièce ?
Nous allons donc, dans un premier temps, analysé l'argumentation de Figaro puis ensuite essayé de comprendre la place de ce monologue dans la pièce. Le récit de l'intrigue vue par Figaro est ce qui constitue les quelque première ligne, en effet on voit qu'il se croit tromper par son épouse. Par exemple quand il dit « et moi comme un benêt », ceci éclaire et prouve a ceux du publique qui pouvaient doutés qu'il n'a absolument pas prévu la ruse de sa femme.
Mais très rapidement Figaro s'étend a d'autre sujet plus variés, son passé, son histoire avec le compte ; « Un grand seigneur passe à Séville; il me reconnaît, je le marie; et pour prix d'avoir eu par mes soins son épouse, il veut intercepter la mienne! ». Les mésaventure qu'il a eu quelque scène avant comme par exemple le mariages empêché de peut avec sa mère ; « au moment d'épouser ma mère, mes parents m'arrivent à la file. »
Figaro passe aussi beaucoup de temps a relaté son parcourt compliqué, sa succession de métiers ; vétérinaire, écrivains, journaliste, barbier. Il utilise même une ou deux expression pathétique comme « mes joues