Buster keaton
Le Mécano de la « Général », un « art de l’espace » et du mouvement.
Sujet : Le Mécano de la « Général », un « art de l’espace » et du mouvement.
Problématique : Comment grâce à son jeu et ses procédés cinématographiques Buster Keaton parvient-il à conquérir l’espace et à inscrire son film dans un mouvement perpétuel ? Plan détaillé : Introduction :
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Etats-Unis 1926 Trajet en locomotive mêlant amour facétieux et ridicule de la guerre Réalité historique (la guerre de sécession) mêlée au burlesque Une histoire répétitive qui tient pourtant en haleine.
Le comique par le mouvement
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Johnny Gray (Alias Buster Keaton) ne vit que par le mouvement, rester immobile lui porte toujours malheur. Le gag se construit et se déconstruit par le déplacement/Cascades réalisées par Keaton, pas de tricheries. Multiples trajectoires semées de pièges facilement transformables en gags/Chute de corps, d’objets. Aller-retour incessants. L’omniprésence de la locomotive > source de l’action, du burlesque. /Le thème de la poursuite
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Mise en scène géométrique
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Intrigue construite sur deux parties parfaitement symétriques/Situation inversée > le poursuivant devient le poursuivi. Lignes figuratives/ligne principale> la voie ferrée, lignes de fuites, lignes verticales, horizontales, lignes de tir... Multiples trajectoires invisibles dessinées par le personnage lui-même. Mouvements mécaniques du personnage de Keaton.
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L’espace réfléchi par Keaton-cinéaste
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Profondeur de champs/Symbole de l’urgence, les poursuivis à un bout de l’image et le poursuivant au fond de celle-ci.
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Mouvement de la caméra : travellings et panoramiques > insistent sur la vitesse de la locomotive et sur l’espace parcouru. Champs et Contre-champs/Mettre le spectateur au cœur de l’action. Plusieurs angles de vues/Plongée, contre-plongées. Le cadre dans le cadre/Au début du film, Johnny vu à travers une fenêtre.