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De Madrid à Chemnitz : Le médecin espagnol prend en charge Praxis1 en Saxe
Salibi est Espagnol. Il a sa femme et les deux filles, 17 et 18 ans, avec de manière apportée. Mohd Salibi a 55 ans, il venait au Liban au monde; le plus grand
Il a passé la partie de sa vie à Madrid. Il étudiait la médecine et chirurgie, travaillait donc à l'hôpital donc dans la maison de retraite. Sa femme était informaticienne,
5 de ses filles allaient à l'école, la vie était belle. Jusqu'à ce que la crise vienne.
La crise avait rendu, certes, pas au chômage Salibi, maintenant il travaillait même dans deux
Pratiques. Mais sa femme avait perdu son lieu, et les filles s'assoyaient souvent à
A la maison parce que les professeurs streikten2
.
L'union de médecins envoyait Arbeitsangebote3 de l'étranger autour. Suède,
10 Norvège, trop froidement, à très loin, pensait Salibi. Alors il paraissait une offre
L'Allemagne. Il pensait à Berlin, à Munich. Il envoyait son curriculum vitae :
Les grandes chances, il n'escomptait pas. Mais après une conversation téléphonique, ils le chargeaient
Allemands de la même façon à lui-même l'un, dans une région qui appelle Saxe. Les Allemands si payaient l'arrivée, le logement, aux excursions organisées. Après un arrêt à Chemnitz
15 les apportaient lui après une haute pierre-Ernstthal. Dans la pratique à la gare attendait Klaus
Stiegler, un petit homme, 71 ans, le spécialiste des maladies organiques et médecin de famille. Il parlait l'anglais avec Salibi. Il lui racontait qu'il cherchait déjà depuis 5 ans quelqu'un, sa pratique veut avoir.
Salibi constatait qu'il y avait une crise aussi en Allemagne. Au moins dans elle
20 régions autour de Chemnitz. Stiegler voulait fermer en aucun cas la pratique. Cela donnait beaucoup de vieux gens qui devaient devenir régulièrement betreut4. Beaucoup de plus jeunes avaient la région après Wende5 quittent. (…)
Salibi passait avec la famille à Chemnitz, il y avait là des