caligula
ACTE II - Scène 14
Caligula et le jeune Scipion
Situation : trois ans séparant l'acte I de l'acte II . Depuis son retour Caligula se conduit comme un tyran fou tous ses actes sont une provocation . Dans l'extrait de la scène 14 de l'acte 11: que nous allons étudier le jeune Scipion se retrouve face â face avec l'empereur, l'atmosphère est tendu.
Dans la scène 12 Scipion disait « Ce que j'ai de meilleur en moi c'est ma haine » mais paradoxalement la rencontre se transforme rapidement en une sorte de complicité de connivence entre les deux protagonistes ( différent antagoniste) , autour de la poésie mais le vraie visage de Caligula se jour brutalement.
I.Symbiose complicité et connivence
a. tendresse C'est surtout à travers les didascalie qu `apparais la tendresse qui habite les deux personnages: « Caligula prenant le jeune Scipion contre lui » « le jeune Scipïon frémissant contre la poitrine de Caligula » s< Caressant »
b.poésie inventivité. On a l'impression d'entendre un chant à deux voix et les points de suspension qui terminent et commencent les répliques semblent être un trait d'union â la foi entre les deux personnages et leurs sensibilité poétique . « cette apaisement fugitif et bouleversement ... qui ramène le soir ...
... du cris du martinet dans le ciel vert »
c.duo Les deux personnages parlent le même langage. C'est oublié le personnage étrange de Caligula.
II. la cruauté de caligula
a.la froideur.La didascalie crée la fracture « changent brusquement de ton » et il est à remarquer qu'il se trouve en plein milieu de la réplique de Caligula. Ensuite tombe la réplique lapidaire, totalement décollé « tout celas manque de sang »
b.la lucidité . C'est avec « tristesse » qu'il avoue « j'ai joué » et la remarque de Scipion « comme tan de mal et de haine » groupe binaire « doivent te torturé » vont provoquer Caligula : il dévoilé ses angoissent c'est la gradation dans la didascalie qui nous le fait comprendre « douce » « avec colère » «