Camus-daru-l’hôte
A’ la fin de l’histoire, « L’Hôte, » le lecteur rencontre une situation vraimente absurde qui révele carrement le point de vue de Camus a’ propos de la vie, l’eventualité de la morte, et la futilité du volonté humaine. Au bout de compte, selon l’auteur, il faut choisir dans la vie, mais peu importe qu’on choisi, cela n’a pas d’importance. C’est l’absurdité : il existe dans l’univers une manque de logique, et on ne peut pas prédominer contre cette vérité inévitable.
Cette disette de cohérence, qui finit par se resoudre comme dénouement absurde, est évidante pendant toute l’histoire. L’autour décrit un morceaux de societé assez bizarre : L’Arabe, dans son propre pays, tue son cousin. Il est punis par le gouvernement du France qui, en s’imposant leurs coutumes et leurs lois sur les premiers inhabitants de l’Algerie, dicte une réalité absurde pour ces indigènes.
Aussi notable comme situation déraissonable est le fait que l’enseignant Daru, qui mène une vie ascète mais relativement contente, doit, contre sa volonté, s’assumer la position inconfortable du juge. L’incongruité continue quand le lecteur apprend que et l’Arabe et Daru vont mourir en fin du compte. Tout est par hasard pour ces deux hommes, et en décrirant avec un tel sens d’ironie les circonstances de leur rencontre, Camus nous donne son interprétation fataliste du monde absurde.
Tout le monde va mourir ; c’est une vérité bien connu. Ce que l’autour veut dire dans cette histoire et que nos intentions, malveilantes ou’ altruistes, ne comptent pour rien finalement. Notre éxistance peut seulement garantir que le destin se deroule sans exposé raisonné. L’Arabe sera dans la meme situation que Daru, en principle, meme si’il avait été coupable d’un mort et meme si Daru avait essayé de l’aider. Cet fin exemplifie l’absurdité : il n y a pas de raison dans la vie malgré la realité que nous devons faire des décisions qui se semblent d’etre importantes. Les