Candide chapitre 3

Je vais vous présenter le chapitre 3 de l’ouvrage « Candide », un roman philosophique publié par Voltaire en 1759. La vie de cet écrivain, issu de la bourgeoisie aisée, est marquée par plusieurs exils, en conséquence de certains de ses écrits. Cependant, cet homme a su en tirer des avantages : Cela lui a permis de découvrir d’autres mœurs, en Angleterre notamment, et également d’autres personnalités, comme Shakespeare ou Newton. Il a pu ainsi accomplir sa formation en tant que philosophe. Très proche du roi de Prusse Frédéric II, Voltaire et le souverain font apparaître un puissant symbole : l’alliance du pouvoir et des Lumières. cet homme reste encore aujourd’hui très connu en raison de ses écrits philosophiques, mais aussi de son combat qu’il a mené durant toute sa vie contre les erreurs commises par la justice.
La parution de Candide survient 3 ans après le terrible tremblement de terre qui a ravagé la ville de Lisbonne. Voltaire y exprime son point de vue au sujet de l’optimisme. Il met donc en scène un héros, Candide, qui découvre le mal sous toutes ses formes au cours de ses aventures. Au début du chapitre 3, Candide a été chassé du château du baron de Thunder-ten-tronckh, un lieu épargné de tous les maux existants. Ce jeune homme est ignore totalement l’existence du malheur, de la souffrance, des vices,… Pour lui, « tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes ». Nous en sommes à la situation où, réfugié chez les bulgares, Candide apprend que le roi livre bataille au roi des Abares.
Dans un premier temps, nous découvriront quelle vision a Voltaire en ce qui concerne la guerre et nous verrons par conséquent les procédés utilisés qui pour affirmer son opinion. Nous nous intéresserons ensuite au comportement qu’adopte le jeune Candide face à ce chaos.

On remarque tout d’abord que Voltaire utilise un registre totalement ironique. Il prouve ainsi que la guerre est totalement stupide. On remarque donc des figures d’amplifications,