Candide voltaire le nègre de surinam (chapitre 19ème)
I - Un constat
Le récit de la rencontre avec le nègre est fait par le narrateur qui semble ne pas prendre partie et donner les choses telles quelles se sont passées.
Les paroles de l'esclave ont cette même tonalité d'acceptation de son sort en fonction d'une même réglementation.
Cette brunette prend un bain de soleil tout en étudiant dans la cours arrière de chez ses parents. Tout à coup, son petit copain se pointe le bout du nez pour lui faire un visite surprise. "Tu tombes bien mon chéri" lui dit-elle en se caressant la chatte déjà tout moite à l'idée de se prendre de la bite profondément. Sans plus tarder, elle retire son chemisier et s'occupe affectueusement de son mec en lui suçant la bite de bas en haut en prenant bien soin de lui lécher le gland et les couilles. Cette fille est chaude comme la braise et demande à son pote de lui dérouiller le cul histoire de jouir comme une salope. Aussitôt, il lui enfile le trou de balle, la tringle a vive allure, et ce, jusqu'à ce que monte le foutre expulse son liquide dans la bouche de cette nympho.
a) Un constat dans le récit
- Le " ils " désigne Candide et son valet Cacambo. Rencontre de trois personnages, Candide et Cacambo en mouvement et le nègre qui est étendu par terre. Il y a donc opposition entre liberté de mouvement des uns et immobilité de l'autre.
- La présentation du nègre est faite sans apitoiement d'abord à travers des détails vestimentaires " la moitié de son habit " puis indication de sa mutilation. Tout est mis sur le même plan.
b) Constat dans les paroles de l'esclave
- Affirmation d'une attitude de soumission, de passivité "j'attends mon maître"
- Explication calme et détaillée de " l'usage ". Symétrie de la construction de la phrase et résultat obtenu sans aucune émotion.
- La constat n'est pas seulement de sa situation personnelle mais il établit l'histoire de tous les esclaves. Cependant après la parole résignée de l'esclave, le nègre va donner la