Cas GDS 1986 2004
Entre 1986 et 1989, GDS déploie ces centres d’éditions, le contrat passé avec le CN ne suffisait pas à la rentabilisation du groupe, les directeurs d’unité ont donc du mutualiser leurs équipements, ce qui a produit un malaise chez les cadres d’origine MIKROTECH, ils ont fini par être remplacé par un profil plus business et commercial. GDS connaissait alors une croissance sur deux niveaux, le développement auprès des centres de tris était fort mais la rentabilité restait fragile.
En 1992, GDS était devenu un des leaders de l’éditique Français, cependant l’entreprise était en suréquipement et l’apport des nouvelles technologies ne permettait pas de retrouver une rentabilité plus forte, elle était alors de 4%.
François MAURO fut alors nommé DG du groupe, le CN était lui au bord de la faillite, on observa donc une renégociation du contrat avec le CN. Le message transmis Fu alors très simple, les équipe devait être allégé par les directeurs d’unités tout en gardant les exigences du DG et des clients. En 1999 GDS perdais ses parts de marché avec la poste qui préférais traiter directement avec le client, des efforts avais permis la baisse des prix mais la rentabilité du groupe restait quant à elle toujours très faible.
La mise en concurrence au début des années 2000 avec LASERTOP et DOTPOST, a été vu par le groupe LAGARDE comme un forte opportunité pour la revente, GDS fut donc vendu en 2004 a un important constructeur de chaine de mise sous plis industrielles. Un rachat qui satisfaisait les différents partis qui espérait des nouveaux moyens productifs et financiers pour GDS.