Cas hermès
Tout d’abord, définissons ce qu’est une finalité. Celle-ci consiste en la mission générale de l’entreprise. Il existe différents types de finalités telles que la finalité économique et sociétale qui englobe la finalité sociale et environnementale.
Finalité économique
L’entreprise Hermès pour faire face à la crise est présente dans quatorze secteurs comme la sellerie, l’art de vivre, les arts de la table, les parfums, le prêt-à-porter, la bijouterie ou encore l’horlogerie. L’entreprise pour se diversifier a même procédé à des rachats ou à des prises de participations dans différentes marques prestigieuses comme les chaussures John-Lobb, le Christal Saint Louis ou encore les Tissagers Perrin et fils. Hermès veut également renforcer sa présence sur les marchés internationaux. Par exemple, elle prévoit également l’ouverture de plusieurs boutiques dans les zones à fort potentiel comme l’Asie. De plus, grâce à cette stratégie, le chiffre d’affaire du groupe ne fait qu’augmenter. En effet, en 2011, il y a eu une forte croissance des ventes soit 18,3 % en plus que l’année 2010. Le groupe veut devenir leader sur le marché du luxe qui est très éclaté mais sur lequel on distingue trois grands acteurs principaux tels que LVMH, PPR et Richemont. Hermès ne faisant partie d’aucun d’entre eux, il doit se faire sa propre place. Aujourd’hui, Hermès détient entre 1 et 1,5% des parts de marché du marché du luxe. C’est pour cela qu’avec cette augmentation de 18,3%, Hermès a envisagé certaines perspectives pour 2012 afin de progresser davantage sur le marché du luxe et gagner en parts de marché. Effectivement, leur stratégie basée sur le savoir-faire et le contrôle du réseau de distribution sera poursuivie. Elle poursuivra ses investissements dans le développement de ses capacités de production et de son réseau de distribution, avec l’ouverture ou la rénovation d’une quinzaine de succursales.
Le groupe veut également établir un nouveau plan d’attribution d’actions.