PSA (Peugeot Société Anonyme) est fondé à la mi-1966 pour former le holding du groupe automobile Peugeot Citroën. En 2013, c’était Philippe Varin qui en est le président. Son chiffre d’affaire était alors de 12,1 milliard d’euros.

I. Analyse de la situation de l’entreprise
1. Les opportunités qui influencent sa stratégie sont : la pérennité des usines française au moins jusqu’à 2016 qui permettent de construire de véhicule que l’on peut qualifier de « made in France », une qualité de plus en plus bonne, un enrichissement des gammes de avec un effort d’innovation. Le groupe souhaite également améliorer sa place à l’internationale avec une offensive sur les marchés en croissance tels que le Brésil ou la Chine. PSA a également une opportunité avec un plan de compétitivité ainsi que son alliance avec General Motors pour réduire les coûts. Il y a également le succès des voitures récentes tels que la 308 et la DS3 par exemple. Cependant le groupe a également des menaces qui influencent sa stratégie : la crise économique qui lui fait perdre des parts de marché et baisser son chiffre d’affaire par exemple. Aussi, les marchés comme la Russie ou le Brésil ou PSA à beaucoup investit, le groupe a perdu des parts de marché de respectivement 23,1% et 30%
2. Les parties prenantes, ce sont des individus ou groupe qui peuvent affecter ou être affecté par les actions et leurs conséquences que l’entreprise met en œuvre pour atteindre ses objectifs. Les partie prenantes de PSA sont : les syndicats, pour commencer, qui ont signé officiellement un accord de compétitivité qui garantit la pérennité des sites de production en France jusqu’en 2016. L’enjeu de son action est de maintenir l’emploi en France. Il y a également la direction de PSA qui a un but différent : maintenir les résultats de l’entreprise à la hausse.
3. La stratégie adoptée par PSA, d’après le schéma de Mintzberg, n’est pas celle qu’elle avait à son début à cause des multiples influences environnemental qui remettent