Cas T Leries Muller
BTS CGO
Management
Cas Tôleries Muller – Schuster
1. Dispositifs liés au R.S.E :
Selon la définition de l’Union Européenne, la Responsabilité Sociale de l’Entreprise est l’intégration volontaire par les entreprises de préoccupations sociales et environnementales à leurs activités commerciales et leur relations avec leur parties prenantes. La R.S.E qui provient de l’expression Corporate Social Responsability de Howard Rothmann Bowen a un aspect éthique.
Afin de suivre cette déontologie, l’entreprise a mis en place des dispositifs. Premièrement sur le plan environnemental, elle a engagé une action visant à obtenir l’attestation de certification dans le domaine du développement durable. Elle comme objectif de réduire de 20% l’émission de CO2 sur 5 ans. Ensuite sur le plan social, l’entreprise Tôleries Muller–Schuster verse un salaire plus élevé que la moyenne. Elle distribue aussi une prime d’intéressement aux bénéfices et elle a même installé une crèche dans les locaux de l’entreprise. Tony Schuster cherche également à maintenir les emplois en France. Par ailleurs, l’entreprise s’implique au niveau sociétale. Elle s’investie dans la vie locale en pratiquant le mécénat et en soutenant financièrement une équipe de handball.
2. Logique entrepreneuriale à une logique managériale :
D’après Joseph Schumpeter, l’entrepreneur incarne le pari de l’innovation et il est au cœur de la logique de « destruction créatrice ». Cette logique entrepreneuriale est présente chez Richard Schuster. En effet, Mr Schuster issu d’une profession en voie de disparition, a profité des opportunités du marché pour se reconvertir. Il a pris le risque de passer du métier de forgeron à une activité industrielle de tôlerie en 1955. L’entreprise a dû innover leur procéder de fabrication en investissant dans des machines destinées à travailler la tôle. Dans les années soixante, la croissance du BTP est tellement forte que l’entreprise s’est développée en absorbant deux entreprises