MOURTON Cassandre, DARIDAN Margot, CANETTI Florence, COLIN David, SAUGET Thibault, OSTERBERGER Loïc. PMF 1

Les changements qui ont entrainé le rachat du groupe Z :

Dans les années 70, la situation économique est telle que la demande est supérieure à l’offre, le groupe arrive donc à dégager d’importants bénéfices.
Le groupe se développe vers l’étranger et les différentes entités qui le constituent se placent leaders du marché.
La concurrence n’existe pratiquement pas. En effet la force principale du groupe se trouve dans l’approvisionnement qui est inaccessible pour la concurrence.
Malgré le faible niveau de qualification des salariés, la bonne marche du groupe offre au personnel des conditions de travail favorables.
Cependant dans les années 80 plusieurs innovations technologiques viennent perturber le marché en particulier le « plastique » qui s’installe dans le domaine industriel.
Les machines dont le groupe se servait sont ainsi remplacées par de nouvelles, plus performantes. Ces nouvelles machines demandent donc un personnel plus qualifié, mieux formé et plus expérimenté.
Tous ces changements impliquent de nombreux investissements onéreux pour le groupe et entraînent une importante influence sur leur système d’approvisionnement. Le groupe s’oriente donc vers le domaine pétrolier.
Ce qui était sa force est devenu sa faiblesse. Il se retrouve dépendant des sources d’approvisionnement.
Tous ces nouveaux facteurs affaiblissent la rentabilité du groupe et remettent sérieusement sa pérennité en cause.
Le groupe Z n’arrive plus à faire face à la concurrence sur le domaine industriel qui s’accroit et la banque qui en est la propriétaire décide donc de trouver un acquéreur potentiel pour lui vendre ses parts.
En 1995, le groupe Z est vendu à une compagnie pétrolière.

Les perturbations induites par le rachat :

Suite au rachat, le groupe Z subit une centralisation des pouvoirs avec des systèmes de contrôle de gestion qui deviennent plus stricts