Ce que la fiction dit du monde-sélection goncourt 2011

844 mots 4 pages
Ce que la fiction dit du monde !

Pour commencer, tout les romans sont des romans de fiction, car il n’y a pas un seul roman où il n’y a pas un élément ou plusieurs d’inventés, même si le roman est basé sur une histoire vraie. Si nous nous focalisons sur les livres Goncourt, nous pouvons nous poser la question : dans quelle mesure parlent-ils du monde, au sens général et au sens particulier ? Les romans Goncourt disent le monde, mais est-ce le seul sujet ?

En effet, les romans de la sélection Goncourt disent le monde dans la mesure où ils développent les thèmes universelles. Tout d’abord, il y a le thème des classes sociales qui, je pense, est un des sujet le plus présent dans les romans. On parle le plus souvent soit des pauvres, soit des riches, mais rarement du milieu, c’est-à-dire ceux qui vivent aisément mais qui ne peuvent pas dépasser une certaine limite financière. La classe du milieu est la moins représentée car c’est la classe la moins intéressante puisque c’est la classe majoritaire en France. C’est aussi à cause de sa monotonie qui n’attire pas les auteurs puisqu’il est très difficile de faire une histoire si le thème est ordinaire et banal. Mais ce thème dépend aussi du pays où l’histoire à lieu, car en France nous n’avons que 3 classes sociales différentes mais par exemple en Angleterre, il y en a 7 ou 8. Ensuite, il y a les relations au sein des familles. Le roman de Delphine de Vigan, Rien ne s’oppose à la nuit, illustre parfaitement cette idée. Ce roman raconte l’histoire de la mère de l’auteure, surement à cause des drames qui ont bouleversés son enfance, devient à l’âge adulte bipolaire et sombre dans la folie. Dans une première partie, la ‘‘malédiction’’ (si on peut dire) qui touche sa famille semble renforcer les liens qui unissent cette fratrie . Contrairement à la 1ère partie, la deuxième partie nous raconte l’enfance de Delphine de Vigan où l’on voit sa mère décliner peu à peu dans la folie et où le lien qui les

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