Cette part de rêve que l’on porte en soi

Définition :
Avant le 18° la notion de rêve est péjorative, associé à un état délirant et maladif. Au 18° le mot rêve commence à remplacer le terme songe et commence à avoir son sens moderne à savoir d’une part l’activité psychique pendant le sommeil et la construction de l’imagination en état de veille.
Au 20° il devient associé à l’inconscient et il devient un outil psychanalytique.
Aujourd’hui il peut garder un sens péjoratif quand il signifie illusion, chimère (faire des châteaux en Espagne).
La question qui se pose depuis l’origine du rêve est ce que le rêve est l’opposition de la réalité. Le rêve peut être une parenthèse de la conscience, une phase particulière du sommeil ou la représentation idéale de ce que l’on désir. Du coup les expressions de rêve, c’est le rêve, etc. correspondent à la représentation idéal.
Le rêve est une évasion ou une libération (cathartique).
Depuis toujours le rêve engendre les légendes, les mythes, la littérature, l’art, l’imagination et la création.

1) Ce qu’il faut retenir de l’émission philosophie autour du rêve avec Anne Dufourmantelle
Le rêve provient de l’inconscient, il est inhérent à la nature humaine, il est nécessaire à l’homme. Tout le monde rêve et tous les cerveaux humains s’échappent dans le rêve à peu près toutes les heures. Donc cette part de rêve peut renvoyer à notre en inconscient.
Le rêve est une action.
Le rêve est cathartique et il permet de trouver des solutions. Quand on analyse les rêves on se comprend mieux et on sort de certains traumas.
La frontière entre rêve et réalité est flou. Le rêve est une distorsion de la réalité et dans ce que l’on rêve on découvre des choses connus. Pour le philosophe David Hume on ne rêve que de chose connu. D’où la phrase le rêve est prisonnier d’une réalité qu’il reconfigure. La frontière entre le rêve et la réalité n’est pas aussi simple qu’elle en a l’air (cercle de Möbius).

2) Ce qu’il faut savoir de