Chagrin d'école
Le Traité sur la non-prolifération des armes nucléaires (TNP) est un traité international conclu en 1968 et signé par un grand nombre de pays. Il vise à réduire le risque que l'arme nucléaire se répande à travers le monde, et son application est garantie par l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA).
Par ailleurs, la Corée du Nord a annoncé son retrait du traité le 10 janvier 2003 : sa position actuelle fait toujours débat entre juristes internationaux, beaucoup d'entre eux[réf. nécessaire] estimant qu'il y a eu vice de forme sur le retrait de la Corée du Nord et que celle-ci est toujours tenue par ses engagements au titre du Traité.
Iran : Le Programme nucléaire iranien est repris en janvier 2006. Il existe à cette période une controverse concernant l'utilisation de la technologie civile à des fins militaires[7], en particulier le désir manifesté par l'Iran de produire elle-même de l'uranium enrichi. Alors que l'Iran affirme ne vouloir utiliser la maîtrise du nucléaire uniquement à des fins civiles et que l'AIEA n'a trouvé aucune preuve que l'Iran dispose d'installations d'enrichissement de niveau militaire (au moins 90%) [8]. L'Iran est signataire du traité sur la non prolifération.
« Les États qui concluent le présent Traité, [...] » « Considérant les dévastations qu'une guerre nucléaire ferait subir à l'humanité entière et la nécessité qui en résulte de ne ménager aucun effort pour écarter le risque d'une telle guerre et de prendre des mesures en vue de sauvegarder la sécurité des peuples [...] sont convenus de ce qui suit... »
Et rappelant l'effort qui doit être mis conformément à la Charte des Nations unies pour s'abstenir du recours à la menace ou à l'emploi de la force, et pour favoriser l'établissement et le maintien de la paix et de la sécurité internationale, le traité engage les parties non-dotées d'armes nucléaires « à ne transférer [ni ne recevoir] à [ou de] qui que ce